A propos
Mon Parcours.
Né en 1977, le petit Jim tombera bien vite sur les passions et références qui borneront sa vie future, Légos, club Dorothée, Navette Challenger qui fait boom, jeux vidéos (principalement shoot’em’up – danmakus). Dès l’age de 5 ans, il dessine maladivement des petites BDs, avec des vaisseaux spatiaux, des planètes, il sera auteur BD, même s’il ne sait pas vraiment ce que c’est. Après un parcours classique d’échec scolaire (3 redoublements), il intègre l’école d’art Emile Cohl de Lyon en 1998 et s’en fera virer en 2001, décidément, l’école, c’est pas fait pour lui.
De défaites en défaites jusqu’à la victoire (Mao)
En 2004, la chance lui sourit enfin chez les pro, Philippe Bonifay m’accordera sa confiance pour dessiner les décors de la série « Compagnie des glaces » dès le tome 5 pour quelques dessins, mais surtout au tome 6 à « plein temps ».
Une collaboration qui ira jusqu’en 2010 après 10 albums produits.
Il enchaîne dès lors de vastes tournés à travers la France pendant plus de 10 ans, et retourne parfois dans « l’édition classique » pour une collaboration (encreur sur « Drôle d’histoire » tome 3 – Stéphane BERN, 2019 STEINKIS éditions.)
Dès 2010, il basculera en édition indépendante (FTW Productions) pour produire sa propre série « /7 ».
En 2021, le tome 6/7 sort et entame des collaborations BD pour des commandes privés… à suivre.
Ma formation.
En 1998, il intègre donc la fameuse école d’art Emile Cohl ou il apprendra de nombreuses disciplines avec des profs exceptionnels dans leurs domaines.
Il progresse de manière rapide, mais peine à « digérer » et rendre efficacement sur les travaux demandes, ce qui justifiera son renvoi à la fin de la « deuxième année ».
Peu importe, les connaissances sont là et n’en sortiront plus !
Mes aspirations.
Qu’est ce qu’il peut bien avoir dans la tête de ce Jim ?
Lors d’une dédicace, on le surprendra à répondre à un lecteur :
« Je n’aime PAS dessiner, je DOIS dessiner »
A partir de là, il faut comprendre que ce n’est pas tant une « envie » qu’un « besoin », parce que beaucoup de chose dès son enfance n’avaient aucun sens, quand bien même tout le monde autour de lui semblaient se précipiter sur ces choses qui lui étaient indifférentes.
Le seul « sens » qu’il y avait, c’était de transformer des rêves en dessins et histoires bien concrètes.
La BD à l’ère COVID
Un peu dans la ligne indépendante qu’il suivra dès 2010 en fondant sa propre maison d’édition pour « acheter » sa liberté de création, il pensera, à la fin 2020 (Octobre) à un festival BD en « télétravail ».
Dès Novembre 2020, le « Salon BD Virtuel » naît, proposant aux lecteurs de rencontrer via DISCORD non pas un seul auteur, mais plusieurs, de leur acheter des albums , de discuter en direct, et de voir dédicacer les albums via des installations audio et vidéos chez les auteurs impliqués.
Un bon succès d’estime à l’été 2021 pour cette saison 1, et à présent le lancement de la saison 2 (Sept 2021) avec un programme plus dense pour les lecteurs.